Ouverture aux touristes

Les paroisses du Plateau, présentes tout l’été

01 septembre 2018

Voici l’été ! Sur le Plateau Vivarais-Lignon, le rythme passe à l’hyperactif !

Les résidences secondaires s’ouvrent, après les parents arrivés en juin, les enfants et petits-enfants se succèdent. Les fins de semaines accueillent aussi des visiteurs venus d’un peu partout, pour retrouver des souvenirs d’enfance, camps scouts, maisons d’enfants, fermes et même… refuge historique.

Les cultes sont aussi un lieu et une occasion de retrouvailles : amis d’autrefois, paroissiens d’ailleurs, anciens pasteurs, curieux en histoire protestante locale. Alors, les lieux de culte se multiplient également l’été. Au Mazet-Saint-Voy, c’est dans chacun des trois lieux de culte que tous les dimanches les cultes sont célébrés.

 

Rencontres traditionnelles et festives

Touristes et habitants se mêlent : fêtes de paroisse, soupe au chou, « culte du désert » dans les bois de la Favéa ; mais aussi concerts et conférences devenus au fil des étés « traditionnels » et attendus. D’autres moments plus spirituels, pause-prière hebdomadaire comme dans l’année, concerts, camps évangéliques pour jeunes, partages bibliques…

 

Une Babel heureuse

Les temples sont ouverts, offrant des explications sur notre fonctionnement ecclésial, le culte, les protestants, l’histoire : les touristes, très curieux, apprécient de pouvoir poser des questions, et quelquefois abordent leur propre question de foi : retour sur soi, interrogation sur l’avenir ?

Les Églises du Plateau se sont préparées à l’accueil de tous : les réunions ont été nombreuses pour définir des rencontres, des expositions, des conférences, des concerts… en collaboration et aux côtés des municipalités : il faut aussi remplir les rubriques du territoire, annoncer les activités…

Les équipes locales s’enrichissent de participations temporaires pour assurer les services (ouverture et fermeture des portes à heures fixes), commentaire d’expo, les accueils, les jeux d’orgue.

Le Plateau est devenu comme chaque été une Babel heureuse.

Martine CHAUVINC-CHIFFE

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