Les aumôneries, écouter, accompagner, aimer

01 avril 2018

L’attention portée au détenu est le fait de la toute première Église chrétienne. Plus tard, on se préoccupe des malades immobilisés dans les hospices. C’est la République qui, enfin, étend et garantit le libre exercice des cultes pour les personnes qui ne sont pas libres de se déplacer.

Pour cela des aumôniers sont formés et œuvrent à l’harmonie sociale dans le souci d’une justice restaurative pour les inculpés, d’un accompagnement consolateur pour les malades et d’un soutien moral pour les soldats. Mais le désir d’aider dans la souffrance ne doit pas conduire au prosélytisme.

Loin d’un Dieu qui « punit » ou d’un Dieu « impuissant », la souffrance « accompagnée » devient rédemptrice pour l’homme et la société.

L’attention portée au détenu est le fait de la toute première Église chrétienne. Plus tard, on se préoccupe des malades immobilisés dans les hospices. C’est la République qui, enfin, étend et garantit le libre exercice des cultes pour les personnes qui ne sont pas libres de se déplacer.

Pour cela des aumôniers sont formés et œuvrent à l’harmonie sociale dans le souci d’une justice restaurative pour les inculpés, d’un accompagnement consolateur pour les malades et d’un soutien moral pour les soldats. Mais le désir d’aider dans la souffrance ne doit pas conduire au prosélytisme.

Loin d’un Dieu qui « punit » ou d’un Dieu « impuissant », la souffrance « accompagnée » devient rédemptrice pour l’homme et la société.

© CC0 Domaine public

 

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