Un festin mis en cène

La table de communion

01 novembre 2017

Quand nous partageons le pain et le vin sur quoi mettons-nous l’accent ? Sur le côté « sacré », solennel de ce geste ou sur le côté convivial de tous les repas que Jésus a partagés ? Sacrifice ou simple dernier repas ? Autel ou simple table ?

  Si les luthériens ont dès le début, pour la raison invoquée par Bernard Reymond (cf. page 4), décidé de garder l’autel, les réformés, eux, optèrent pour une simple table en bois. Parfois, malheureusement, il y en eut même deux ! C’était le cas dans la cathédrale de Genève où, comme le relève Bernard Reymond, « l’une des tables était réservée aux hommes, l’autre aux femmes » ! Cette table de bois soulignait la symbolique de la communion, avec le Christ et avec les autres. La Cène était ains...
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Christophe JACON
journal Ensemble

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