La difficulté d’être père

01 mai 2017
Disons-le d’emblée : la 6e sélection cannoise du japonais Kore-Eda Hirokazu ne crée pas la surprise. Dans le droit fil d’une œuvre souvent marquée par l’étude très subtile du bonheur et de la souffrance qui baignent les familles disjointes, on peut considérer qu’il fait entendre à nouveau, sans grand changement, sa petite musique douce-amère. Et pourtant, d’où vient alors son charme pénétrant ? Sans doute de la peinture déchirante de l’échec d’un homme à « devenir celui...
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Jean-Michel Zucker

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